mercredi 4 juin 2014

Nouvelles photos du shooting "Rover Cannes Portraits"



Source : RP Life

Nouveau still "The Rover"


via @TheRoverFilm

Guy Pearce : "Robert Pattinson est incroyable"

Guy Pearce parle de Robert Pattinson à Yahoo Celebrities.

Que saviez de Robert Pattinson avant de faire ce film et comment c'était de travailler avec lui ?

J'étais au courant de sa notoriété et je ne l'avais vu que dans "Water for Elephants", que j'ai vraiment apprécié tout comme j'ai apprécié sa prestation dans ce film. Il a un visage tout bonnement incroyable, n'est ce pas ? Et la sensibilité, il y a une belle sensibilité. Quand David a mentionné qu'il s'intéressait à lui pour le rôle, j'ai dit "Oh wow, ok" parce que je pense que la vulnérabilité était quelque chose qui était vraiment cruciale en ce qui me concerne. Je ne voulais pas que mon personnage le soit, ça ne veut pas dire que je suis une grosse brute épaisse dans le film, mais je ne voulais pas être sur le même pied d'égalité ; je voulais que ce soit de toute évidence très pesant, afin que les gens se sentent désolés pour lui quand je m'en prends vraiment à lui. Et je ne m'attendais pas à ce qu'il soit aussi bon pour être honnête. Non pas que je ne pensais pas qu'il n'en était pas capable bien sûr. Mais le deuxième jour, alors que je jetais un oeil sur un moniteur, il a fait cette scène où il rampe hors de la camionnette et va s'adosser contre un arbre. Il venait juste de la tourner et il essayait de trouver le moyen de s'impliquer au mieux à la situation. J'ai trouvé ça bouleversant. Ce fut un grand moment pour moi, pour être honnête, et ça a été de mieux en mieux pour ce qui me concerne. C'était génial parce que vous mettez de côté toutes ces histoires de notoriété et vous vous concentrez sur le travail que vous faites, et travailler avec quelqu'un qui donne tout, c'est fabuleux, c'est toujours source d'inspiration.

Interview de Robert Pattinson dans "A nous Paris" (scans)

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Box office "Maps to the Stars" : Les chiffres de la 2e semaine - France


Pour sa deuxième semaine d'exploitation (du 28 mai au 3 juin 2014), "Maps to the Stars" comptabilise 76.257 entrées (pour 239 salles), soit -26% environ par rapport à la première semaine et un total cumulé de 178.886 entrées. Le film perd 5 places au box office et se classe 13ème.

Au regard du nombre de séances, l'évolution des chiffres est sensiblement similaire à celle de Cosmopolis qui bénéficiait d'une meilleure distribution en salles.

Infos chiffres : CBO

Audio du passage concernant Robert Pattinson et The Rover sur RTL

Update : ajout de la version youtube (uniquement le passage concernant The Rover et Rob)



Guy Pearce au sujet de Robert Pattinson : "Il a l'étoffe d'un grand comédien"


Guy Pearce a accordé une interview à 20minutes.fr et il y parle de Robert Pattinson.

Extrait concernant Rob

Et Robert Pattinson ?

J’ai passé le tournage à manger du sable avec lui, ça crée des liens ! Plus sérieusement, j’ai été émerveillé par son talent et son sens de l’aventure. Il n’hésite pas à s’enlaidir et à essayer des choses. Il n’est pas qu’une star : il a l’étoffe d’un grand comédien.

Interview de Robert Pattinson pour Direct Matin

Icône adolescente au début de sa carrière, Robert Pattinson s’est définitivement installé dans le paysage hollywoodien. Dans « The Rover » de David Michôd, il interprète un simple d’esprit obligé de collaborer avec son ennemi pour retrouver son frère dans le désert australien. Un virage contrôlé que l’acteur britannique reconnaît avoir été rendu possible grâce à sa rencontre avec David Cronenberg.

Est-ce l’univers de "The Rover" ou votre personnage qui a d’abord suscité votre intérêt ?

J’ai trouvé le scénario très intéressant mais j’ai d’abord eu une connexion très forte avec mon personnage, particulièrement avec sa façon de s’exprimer. Je n’avais jamais vu un tel personnage.

A-t-il été difficile d’interpréter ce simple d’esprit ?

Pas du tout, ça m’est venu naturellement ! (rires) Je l’ai abordé comme un chien des rues qu’on roue de coups et qui pourtant continue de revenir auprès de son maître pour avoir un peu d’affection. 

Nouvelles critiques médias sur "The Rover"

Gentside

Trois ans après Animal Kingdom, David Michôd était attendu au tournant, le réalisateur ayant été très remarqué avec son thriller psychologique très sombre. Et The Rover, présenté hors compétition au festival de Cannes, ne déroge pas à cette règle puisque l'histoire se déroule dans un monde post-apocalyptique, que met parfaitement en scène le désertique bush australien.

Deux hommes contraints de coopérer

Dans ce paysage de désolation, on retrouve Eric, personnage froid rempli de colère qui ne possède plus comme seul bien qu'une vieille voiture poussiéreuse. Lorsqu'une bande de malfrats dérobe le véhicule lors d'une fuite qui tourne mal, Eric se met en quête de remettre la main sur son précieux bien. Lors de ses recherches, il tombe sur Rey, le frère de l'un des voleurs en fuite, laissé pour mort après avoir été blessé. Contraints de coopérer, les deux hommes se lancent alors sur la même piste. Pour David Michôd, The Rover avait notamment pour but de parler "des problèmes apparemment insolubles de l'avidité humaine face à la destruction de notre environnement et du désespoir auquel ces forces pourraient pousser les peuples qui luttent pour survivre". Si tel était vraiment le but du film, alors le bilan est en demi-teinte. Le paysage de The Rover est effectivement apocalyptique et la loi du chacun pour soi règne sans partage. Son monde est parfaitement plausible. Le problème, c'est qu'on ne sait pas comment l'humanité est arrivée à un tel niveau de déchéance. David Michôd laisse le spectateur dans une ignorance complète, et préfère se focaliser sur les scènes de pure violence froide. L'effet est impressionnant, certes, mais ne donne pas forcément matière à réflexion.

Nouvelles photos de Robert Pattinson à Cannes


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Visuel du DVD de "The Rover"

Même si aucune date n'a été officiellement annoncée (la sortie se situera vraisemblablement aux alentours du début du mois d'octobre 2014), le visuel du DVD de "The Rover" est déjà disponible.



source : Covershut via Spunk Ransom

Extraits de l'article Empire (citations de Robert Pattinson et commentaires de Guy Pearce et de la productrice Liz Watts)

A la buvette de l'Hôtel Marree, devenue le réfectoire de l'équipe de tournage, la star de Twilight est détendue, ses scènes sont maintenant terminées. Il explique que la difficulté avec Rey c'était que "Je pense que David aime vraiment le voir comme un enfant, parce qu'il y a quelque chose d'éteint chez Reynolds. La première chose à laquelle j'ai pensée quand j'ai lu le script a été : "C'est un attardé mental ?" Parce que ses comportements n'ont rien de rationnel, mais d'une manière très subtile. Il est extrêmement naïf et a un côté innocent, mais de façon anormale, comme si il avait un problème".

(...)

Pearce ne se prive pas également pour encenser son partenaire Robert Pattinson, qui a quitté la zone de confort qui lui est habituelle pour se retrouver couvert de crasse, affublé d'une prothèse pour donner l'impression que ses dents sont gâtées. Pas de scintillement au soleil ici. "Rob est un gars vraiment intelligent et il a tenu à faire tout ce qui était nécessaire, que ce soit pour parler pendant trois heures ou se lever de bonne heure pour se mettre au boulot" dit Pearce au sujet de la semaine passée à répéter à Adélaïde avant le tournage. "Nous jouons des inconnus l'un pour l'autre dans le film, donc pas besoin de faire semblant comme quand il s'agit d'interpréter deux frères, mais c'était un moment génial. Il y a des moments où je le regardais jouer et je me disais "Mon Dieu, il est génial". Tout d'abord le personnage qu'il joue est vraiment bousillé d'un point de vue émotionnel et d'autre part il l'a interprété avec une conviction vraiment extraordinaire. J'ai été très impressionné, je ne dis pas que je n'aurais pas pu l'être auparavant, mais je ne sais pas grand chose du travail de Rob".

Kirsty McGregor et David Michôd parlent de Robert Pattinson à Film Ink

La directrice de casting Kirsty McGregor et David Michôd parlent de Rob :

Avec des légendes locales comme David Field, Gillian Jones et Anthony Hayes ("David Michôd aime les bons acteurs" explique McGregor "et ces trois là sont les meilleurs du pays"), McGregor et Michôd ont également ajouté à leur casting des acteurs américains de premier rang tel que Scoot McNairy (Killing Them Soflty, Argo, 12 Years A Slave, Marvel's All Hail The King) et la star internationale, Robert Pattinson, l'idole des ados qui leur a donné des bouffées de chaleur dans la saga Twilight. Malgré ce choix de casting inhabituel, Pattinson s'efface vraiment derrière le rôle du doux, triste, terriblement inconscient Rey et offre un portrait convaincant d'un jeune homme, qui n'est pas mauvais dans le fond, totalement dépassé par les évènements. "Très tôt dans le processus, j'ai appelé son agent pour lui demander s'il envisagerait la lecture du rôle" explique Kirsty McGregor.

Interview de Robert Pattinson pour Telepro

«Je suis content d’avoir tourné la page Twilight !»

Après son escapade à Cannes, où il a gravi les fameuses marches, Robert Pattinson s’est confié à Télépro.

Nous avons rencontré le jeune acteur britannique de 28 ans à l’occasion de la sortie du film «The Rover» ce mercredi 4 juin.

Que pensez-vous de votre expérience au Festival de Cannes ?

Ce n’est pas la première fois que je vais sur la Croisette, mais c’est toujours une sorte de choc émotionnel pour moi (il rit). Je suis surpris de voir à quel point les gens sont passionnés par les films… Parfois même un peu trop ! J’ai été choqué de lire certaines critiques sur le film, vraiment virulentes. Je ne comprends pas la colère de quelques journalistes. Il y a parfois une telle agressivité dans ce Festival. On me dit que cela fait partie du jeu à Cannes mais, mon Dieu, ce n’est qu’un film après tout !

Jour J : Sortie en salles de "The Rover" en France


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