Werner Herzog a accordé une interview au site the playlist. Il y parle de Rob et de Twilight.
Extraits traduits :
Herzog affirme que le cinéma a "une manière toute particulière" d'aborder le mythe du vampire, et compte tenu du fait qu'il tient en haute estime l'héritage de Kinski, ce qui lui a interdit de prendre en considération la plupart des déclinaisons sur le thème, il fait une exception surprenante avec la saga "Twilight". Sa réaction ? "J'ai été surpris de trouver ça pas si mal"
"Il faut tenir compte de manière sérieuse qu'il y a des films qui savent comment s'adresser à un public âgé de 14/15 ans" a-t-il ajouté. "Il s'agit d'une approche toute particulière, chose que je ne peux faire, mais ces films y réussissent. Je trouve la plupart d'entre eux stupides, mais pour autant je respecte ces films. Et je viens travaillé avec l'un des acteurs, Robert Pattinson [dans le prochain "Queen of the Desert" de Herzog], et c'est un merveilleux acteur. Il en a manifestement fini avec ces rôles qui font hurler les ados".
Traduction RP France - Info via RP Life
samedi 17 mai 2014
Maps to the Stars : Pas de Robert Pattinson au Grand Journal lundi prochain
Comme le veut la tradition, Antoine de Caunes a annoncé les invités de la prochaine émission (lundi 18 mai) et Julianne Moore sera la seule représentante de "Maps to the Stars" sur le plateau du Grand Journal de Canal Plus. Pas de Rob, ni de David Cronenberg en perspective.
Dommage !
The Rover : David Michôd parle du casting de Robert Pattinson à Screendaily
Dans une interview au site screendaily.com, David Michôd explique son choix de caster Rob.
Extraits traduits :
Etiez vous inquiet d'avoir choisi Robert Pattinson - un acteur plus connu comme étant Le visage d'une franchise pour ados - pour l'un des deux rôles principaux ? Sa performance vous a-t-elle surpris ?
J'ai adoré l'idée. Je savais, et ce dès que je l'ai rencontré pour la première fois, avant même que je ne sache que The Rover allait être mon prochain film, que Rob avait quelque chose de beaucoup plus intéressant à offrir que ce que pouvait suggérer ce qu'il avait fait jusqu'à présent. Et la perspective de lui donner un rôle marquant, de lui donner l'occasion de faire quelque chose bien au delà de ce à quoi les gens s'attendent, est passionnant.
Rob ne m'a pas surpris parce que je savais exactement qu'il était capable de faire ce que je lui demanderais - c'est un acteur génial, sans quoi, je ne l'aurais pas engagé. Je suis sûr, cependant, que tout le monde va être surpris par sa performance parce qu'on ne peut pas faire plus éloigné de ce qu'il a fait auparavant.
Traduction RP France via RP Life
Extraits traduits :
Etiez vous inquiet d'avoir choisi Robert Pattinson - un acteur plus connu comme étant Le visage d'une franchise pour ados - pour l'un des deux rôles principaux ? Sa performance vous a-t-elle surpris ?
J'ai adoré l'idée. Je savais, et ce dès que je l'ai rencontré pour la première fois, avant même que je ne sache que The Rover allait être mon prochain film, que Rob avait quelque chose de beaucoup plus intéressant à offrir que ce que pouvait suggérer ce qu'il avait fait jusqu'à présent. Et la perspective de lui donner un rôle marquant, de lui donner l'occasion de faire quelque chose bien au delà de ce à quoi les gens s'attendent, est passionnant.
Rob ne m'a pas surpris parce que je savais exactement qu'il était capable de faire ce que je lui demanderais - c'est un acteur génial, sans quoi, je ne l'aurais pas engagé. Je suis sûr, cependant, que tout le monde va être surpris par sa performance parce qu'on ne peut pas faire plus éloigné de ce qu'il a fait auparavant.
Traduction RP France via RP Life
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The Rover - Les critiques (médias internationaux)
Variety
Pearce est farouchement impressionnant dans le rôle de cet homme qui a renoncé à la race humaine avant même que tout s'effondre, et si on aperçoit par moments l'homme doux gentil qu'il fût autrefois, nous sommes le plus souvent face à ses instincts sauvages de survie. Mais c'est Robert Pattinson qui s'avère être la plus grande surprise du film, arborant un accent du Sud convaincant et apportant une dignité discrète à un rôle qui aurait pu facilement tomber dans le sentimentalisme bas de gamme. Avec sa voix traînante, sa crédulité, son regard de chien battu, Rey fait penser d'abord à un Lennie Small contemporain, mais il est plus régressé socialement qu'il n'est attardé intellectuellement - le fils à sa maman, surprotégé, soudainement jeté aux loups - et Pattinson ne force jamais le trait ou en rajoute, renforçant l'empathie pour le personnage qui est totalement méritée. Il devient une oasis d'humanité dans cette terre austère et abandonnée.
The Hollywood Reporter
Pattinson offre une performance qui, en dépit des limites propres au personnage, devient de plus en plus intéressante au fur et à mesure du film, ce qui prouve que le jeune acteur peut en effet être capable d'interpréter des personnages décalés. Mais celui qui domine le film est Pearce qui, par son comportement taciturne, donne à Eric le côté anti-héros implacable des westerns classiques ou des films noirs, qui refuse de mourir avant de s'être vengé d'un crime impardonnable.
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The Rover - Les critiques (médias français)
De nouvelles critiques ont été ajoutées...
Cinematraque
The Rover démarre comme un film
de Quentin Dupieux. L’action prend place, comme annoncé en prélude, à
une époque indéterminée, peu de temps après un « drame » aux allures de
fin du monde et dont nous ne connaîtrons jamais la teneur.
Un Robinson Crusoé au regard vide (Guy
Pierce) isolé dans sa voiture garée au fin fond d’un désert australien
semble attendre que le scénariste s’occupe de son cas. Il entre dans un
bouiboui tenu par deux chinois silencieux, et se rince le visage. Quatre
bandits en fuite se disputent dans une voiture qui roule trop vite. Ils
crient et se frappent. Accident. Derrière l’homme en quête d’un but,
une fenêtre donnant sur l’extérieur laisse apparaître façon travelling
la voiture qui enchaîne les tonneaux.
L’homme n’y prête pas attention, jusqu’à
ce que les bandits volent la sienne, de voiture. Alors il se met en
tête de la retrouver.
Le décor est planté et l’intrigue,
tenant sur un post-it et brillamment amenée par une mise en scène
efficace se révèle des plus prometteuses. On n’a pas de mal à transposer
les codes du western crépusculaire dans cette unité de lieu
fantomatique au personnage principal
tourmenté-solitaire-qu’il-faut-pas-faire-chier.
The Rover dans "C'est quoi ce film ?" (Canal +)
Pour savoir ce qui se cache derrière le titre du film The Rover, Didier
Allouch joue de son expertise décalée et impertinente pour présenter des
films en sélection officielle du 67ème Festival de Cannes 2014.
The Rover : David Michôd en interview pour le site The LA Times
David Michôd a accordé une interview au site latimes.com. Il y aborde les conditions de tournage, le choix des acteurs et la qualité de leurs performances et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne tarit pas d'éloges sur Rob.
Traduction :
L'état d'anxiété des réalisateurs sur un tournage n'est pas une nouveauté, mais David Michôd, dont "The Rover" va faire ses débuts au Festival du Cannes ce samedi, avait une préoccupation qui sortait vraiment de l'ordinaire : "J'étais inquiet" dit-il, "que les acteurs puissent mourir".
Premier long métrage de Michôd depuis le formidable "Animal Kingdom" en 2010, "The Rover" met en vedette Guy Pearce et Robert Pattinson et a été tourné dans le bush en Australie du Sud, où les températures durant la période la plus chaude de l'année sont littéralement inhumaines.
"Nous avons fait un repérage technique la semaine avant le début du tournage et on avait une impression de de danger, la température était de 50 degrés Celsius, soit 122 degrés Fahrenheit" se souvient le réalisateur installé bien au frais dans le bar d'un hôtel chic.
"On ne pouvait pas travailler par cette chaleur, si vous restiez dehors plus de 20 minutes, vous pouviez commencer à mourir... Les producteurs [et moi-même] ont eu une courte conversation à ce sujet, ça a été rapide parce que nous ne voulions pas envisager cette possibilité. Heureusement, la température pendant les prises de vue descendait à 40 à 45 degrés Celsius [104-113 Fahrenheit] qui se trouve être acceptable pour l'organisme".
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